Senin, 04 Mei 2015

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La Renaissance: Histoire de la littérature française 2

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Détails sur le produit

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Livres audio Audible

Durée : 6 heures et 13 minutes

Type de programme : Livre audio

Version : Enregistrement original

Editeur : Frémeaux & Associés

Date de publication : 7 novembre 2013

Langue : Français, Français

ASIN: B01CV0QRFS

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

Je ne vais considérer ici que les deux heures vingt-quatre minutes consacrées à Rabelais. Alain Viala donne une suite de leçons, un peu doctes et très savantes. Il y a cependant quelques imprécisions. L’édit de Villers-Cotterêts par exemple n’est pas écrit en français mais en picard, et pourtant il décrète que toutes les décisions et délibérations de justice se devaient d’être écrites dans la langue française. Serait-ce que sous François 1er on considérait le Picard comme faisant partie de la langue française ? Peut-être mais aujourd’hui on sait mieux ce qu’il en est. Il suffit de lire l’original de cet édit pour voir combien on est loin de la langue française de Rabelais ou autres auteurs de la même époque. Bien sûr qu’il ne faut pas s’en tenir à la version française standard disponible à l’Assemblée Nationale. De même si Lille était la capitale des Flandres Françaises, on n’y parlait pas le flamand, mais le picard à nouveau, comme à Roubaix et à Tourcoing et un peu au-delà vers l’ouest. Le flamand n’apparut dans l’industrie textile que quand les ouvriers flamingants venus de Belgique arrivaient le lundi matin avec leur « pot-au-bure » (toute leur nourriture pour la semaine : ils n’achetaient guère que du pain) et repartait le samedi soir avec leur paye. Mieux, ce n’est que depuis quelques décennies que la majorité de la population côté belge est en train de changer et de devenir flamande ce qui impose le passage des noms de ville du Wallon au Flamand, de Tournai à Doornik, de Mouscron à Moescron, etc.Mais l’approche de Rabelais est vraiment que Rabelais est le père fondateur de la littérature française, ce avec quoi je ne peut-être que d’accord. Il choisit d’écrire en français de son époque et de puiser dans les traditions du Moyen Âge français populaire et donc en vieux français comme les histoires de tradition orale, les fabliaux et les Fables présentées dans les marchés comme la Farce de Maître Pathelin. Et c’est probablement là que François Rabelais peut être le mieux compris comme étant au confluent de l’histoire : le passage de la culture purement orale à la culture imprimée, de la culture jouée ou représentée à la culture imprimée et donc lue et disponible en bibliothèques. Le confluent entre le manuscrit justement produit par les copistes, la plupart du temps en latin, et le livre imprimé et qui passe alors souvent aux langues vernaculaires. Je suis moins impressionné par le confluent d’un moine franciscain passant aux bénédictins puis à l’université et devenant docteur à l’Hôtel Dieu de Lyon, et encore ensuite devenant curé et humaniste écrivain, voire éditeur de livres médicaux et autres écrits scientifiques. Je ne crois cependant pas que le terme confluent soit le bon mot. Ce n’est pas un croisement ou un confluent mais bien un passage d’un monde à un autre, donc vraiment un seuil choisi et franchi. L’idée de confluence est centrée sur l’amont de Rabelais et ce qu’il assume et qu’il intègre dans ce qu’il crée, mais pas sur l’aval de Rabelais et ce qu’il crée par symbiose de ses choix et influences multiples.En fait le secret de Rabelais est l’oracle de la Dive Bouteille qui finit par donner le secret dans un seul mot « Trinque » qui est bien sûr le mot magique qui simplement implique la totale et parfois fort dérisoire liberté de laisser vos sens guider vos pas, dominer vos émotions et coloniser votre esprit. On ne pense plus que par l’alcool qui vous change l’âme, l’esprit et le corps et vous est un clystère par le haut comme par le bas, une purge de vomissure à salissure.Le plus intéressant est cependant ce que l’auteur dit de la langue de Rabelais. Il compterait vingt-six mille mots (s’entend mots différents). Il compare avec d’autres auteurs mais il oublie de citer Victor Hugo ou Shakespeare qui sont des auteurs infiniment plus prolifiques que la plupart et en plus ils ont des corpus complets impressionnants étant donné l’étendue de leurs œuvres. Il cite les langues que Rabelais connaissait et utilisait : le français, le latin, l’italien, le grec et l’hébreu, mais il signale que Panurge répond à une question en allemand, italien, espagnol, latin, français, anglais, hébreu et des langues inventées qu’il assume être du turc ou du serbo-croate. En plus Rabelais invente des mots tout le temps comme « sorbonagre » de « Sorbon + onagre », le tout désignant les ânes de la Sorbonne.Il insiste sur les genres abordés par Rabelais. Le roman bien sûr, le récit in absentia, raconter une histoire qui se passe ailleurs et en un autre temps. Il manque encore à Rabelais quelques subtilités de langue qui ne sont pas encore établies en français comme particulièrement l’opposition passé simple contre imparfait et leurs temps composés. L’imparfait ne prendra racine dans la langue française que lentement à partir du 17ème siècle pour une action passée vue en déroulement, en durée, à l’opposition du passé simple. C’est le temps indispensable pour le récit romanesque qui décrit des actions passées en train de se dérouler. Il traite aussi du roman d’aventure et du roman de voyage, on pourrait dire picaresque, même si ce terme est plus espagnol et fait allusion à Don Quichotte, et du roman de guerre mais pas épique, plutôt satirique. Il utilise la science-fiction (serait-il le premier ?) qui est simplement l’imagination d’un lieu et d’un temps non réels et donc qui sert de satire, moquerie ou réflexion politico-philosophique. Il utilise souvent des modèles qui viennent de loin, mais il les transforme et leur donne une dimension nouvelle.Mais en moderniste qui se respecte l’auteur insiste sur l’absence de femmes dans les œuvres de Rabelais sans montrer comment tout le plaisir du vin, tout le plaisir de la chair, tout le plaisir du sexe ne sont vus que du point de vue du vit, du sexe mâle, de l’homme. La femme n’est qu’un moyen d’atteindre ces plaisirs, au plus un outil, un instrument, peut-être même un jouet. Même dans le passage du chapitre 52 de Gargantua, lu par Daniel Mesguich, c’est encore l’homme qui décide de quitter Thélème et qui choisit la femme avec laquelle il partira. Elle n’a rien à dire, sinon « oui » au mariage qui s’ensuit. Cela est en contradiction avec l’émergence d’autrices importantes comme Jeanne Flore, Hélisenne de Crenne ou Marguerite de Navarre. On est loin d’une libération des femmes, même de l’approche des femmes à un rang d’égalité chez Rabelais. Et de toute façon les autrices ici citées sont au plus des défricheuses et il faudrait s’intéresser de savoir quel public elles avaient, quel rayonnement elles portaient. Il y a de fortes chances qu’elles fussent uniquement des femmes comme celles que les moines de Thélème emmenaient avec eux quand ils quittaient, à leur initiative seulement, l’abbaye.C’est là qu’il est nécessaire de faire une remarque sur le choix de diction de Daniel Mesguich. Alain Viala dit que Rabelais conservait dans son écriture de nombreuses lettres muettes marquant l’étymologie des mots. Daniel Mesguich fait le choix de prononcer ces lettres qui ne sont alors plus muettes. Je suis tout à fait d’accord avec ce choix, considérant que toutes ces lettres sont en fait des traces que Rabelais veut garder et donc qu’elles doivent être prononcées pour justement aller dans ce sens. Si on les muettise on supprime justement cette référence à l’étymologie des mots, à l’histoire de la langue, à sa vie et sa genèse dans le temps et surtout dans la durée. J’ai fait une lecture de François Rabelais et François Villon justement hier et j’avais fait le même choix pour la raison que je viens de donner. François Villon qui est exactement de la même période fait apparemment un choix différent car il n’écrit pas ces lettres superflues et on sait qu’elles disparaîtront rapidement. Daniel Mesguich ne garde qu’une seule prononciation originale de tous les « oi » qu’il prononce comme Louis XIV les prononçait supposément, comme s’ils étaient écrits « oué ». J’avais fait le même choix mais je ne l’avais pas fait de façon systématique. On remarquera que cette prononciation s’applique entre autres au seul temps du passé qui est l’ancêtre de ce qui va devenir l’imparfait, en la large absence d’un passé simple. Sans vouloir présumer d’une étude plus approfondie, le chapitre 57 de Gargantua est entièrement au passé avec de nombreux verbes portant des formes de notre imparfait moderne. Il n’y a que quatre formes de notre passé simple et elles ne s’imposent même pas vraiment. La première est portée par le verbe lui-même, « entrer » qui implique une action ponctuelle : « Par ceste liberté entrerent en louable emulatiion de faire tous ce que à un seul voyaient plaire. » Les deux cas suivants sont portés par la négation « jamais ne » à l’initiale de la phrase : « Jamais ne feurent veuz chevaliers tant preux, tant gualans, tant dextres à pied et à cheval, plus vers, mieulx remuans, mieulx manians tous bastons, que là estoient, jamais ne feurent veues dames tant propres, tant mignonnes, moins fascheuses, plus doctes à la main, a l’aigueille, à tout acte muliebre honnete et libere, que là estoient. » Notez l’absence de nombreux accents. Ces deux « passés simples » sont une ouverture à tous les temps et tous les lieux en opposition avec les deux conclusions centrées sur ici et maintenant (temps large) : « que là estoient ».Le quatrième et dernier cas est totalement non justifié par le cotexte, le contexte ou même le sens sinon que le verbe est « issir » l’inverse de « entrer » et donc pose une action ponctuelle, mais sous verbe modal qui ne justifie pas ce passé simple de forme : « Par ceste raison, quand le temps venu estoit que aulcun d’icelle abbaye, ou à la requeste de ses parens, ou pour aultres causes, voulust issir hors, avecques soy il emmenoit une des dames… » La vraie forme romanesque commencera à se développer à la fin du 17ème siècle et posera alors deux temps du passé : le passé simple pour les actions se déroulant en succession chronologique et sans durée, et l’imparfait pour les actions vues en durée comme : « Il entra [action ponctuelle] quand je lisais le journal [action vue en durée] » en opposition avec « Il entra [action ponctuelle] quand je me mis [action ponctuelle, en succession chronologique avec la précédente] à lire le journal » ou encore « il entrait [action vue en durée] quand la foudre le foudroya [action ponctuelle infiniment plus courte que l’action précédente, et qui donne alors de la durée à la précédente et impose l’imparfait] en même pas l’espace d’une seconde. » Nous n’avons pas ce balancement temporel chez Rabelais, même si les deux formes existent.Il est sûr que Rabelais est une étape essentielle et fondatrice de la littérature française, mais il ne faut pas tordre le bâton trop vers le 21ème siècle. On est au tout début d’une littérature et on est surtout au tout début d’une société qui commence à penser que la liberté individuelle est une nouveauté digne de ce nom. De là à dire que la solution de la beuverie est une bonne solution, il n’y a qu’un pas que je ne franchirai pas. Libre à vous de le faire à vos risques et périls. Cela me rappelle par trop les soirées bachiques du pays minier du Nord Pas de Calais où les mineurs se racontaient entre hommes uniquement, de plus de treize ans, âge auquel ils entraient à la mine, dans une arrière-salle d’estaminet, des histoires obscènes, grivoises ou simplement érotiques, parfois plus, tout en buvant une bonne partie de la paye de la bière qui faisait oublier la noirceur et la crasse de la mine quotidienne, même après la douche dans la salle des pendus quand ce n’était pas le savonnage dans un baquet dans la cuisine de la courée où ils vivaient, le samedi soir, avant d’aller à la messe le dimanche matin pour se guérir de leur gueule de bois et de leur âme noire de houille et saoule de grisou.Dr. Jacques COULARDEAU

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